Je savais que je ne devais pas y aller

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il y a 9 ans

Je savais que je ne devais pas y aller et qu'elle est lesbienne, que cette invitation était à hauts risques mais, comme attirée par des puissances obscures j'y suis allée. Ce petit dîner entre filles, proposé pour des raisons professionnelles n'était qu'un prétexte, même si pendant le repas nous avons trouvé des idées intéressantes pour la communication de la société.

A la fin du repas, je l'ai aidée à débarrasser, nous étions dans la cuisine quand sa bouche s’est retrouvée sur la mienne. Je n’ai même pas résisté. J’en mourrais d’envie moi aussi, depuis longtemps cette idée hantait mes rêves alors que je ne suis pas lesbienne.

Pendant ce baiser, nos lèvres se découvraient, s’affolaient, se mordaient, se cherchaient. Nos langues s’entremêlaient comme des serpents. Je n’avais jamais connu un baiser aussi fort, aussi fougueux à la limite de l’obscène tout en restant merveilleux.

L’une de ses mains caressait mon dos, l’autre les seins. C’était terriblement excitant. Je ne savais que faire des miennes. J’en portais une à son visage. L’autre se promenait lentement dans ses cheveux. Je sentais en moi une sensation de chaleur qui montait inexorablement.

Noyée dans les sensations nouvelles je voulais ses mains partout sur moi, en moi. Qu’elles m’explorent, qu'elles m'imposent, qu’elles me déchirent. Je rêvais de choses sadiques…

Ce baiser dura de longues minutes. Je ne sais par quel tour de magie je me suis retrouvée allongée sur son canapé. Sa bouche ne m’avait pas lâchée. Son corps allongée sur le mien, je sentais sa chaleur, son poids, ses seins, son parfum, de bien troublantes émotions pour une novice.

Les baisers de la mante religieuse continuaient, sa langue lutina mon oreille avant de descendre dans mon cou. Mes mains soulevèrent mon pull encombrant pour laisser place à mes seins que nul soutien ne maintenant. Ses mains caressaient, pinçaient, titillaient le bout de mes tétons. Les yeux fermés je me laissais dévorer. Ne sachant que faire je lui caressais les cheveux puis le dos sous son pull. Ses dents me mordillaient les seins. La douleur était une extase… J’ai poussé un petit cri. Sa bouche a continué cette douce t o r t u r e.

Puis sa main droite a soulevé ma jupe. Je n’en pouvais plus, j’étais trempée d’excitation et me serais donnée, là, sans réfléchir…

Et en quelques secondes, cette peur d’être surprise, d’être vue, reconnue même, s’estompa. Comme si le fait de m’exhiber renforçait l’excitation… J’étais là, dans cette voiture, allongée sur le siège avant, le pull retiré et la jupe relevée ! Quelle impudeur divine !

Mon b o u r r e a u continuait ses supplices, sa main descendit dans ma culotte, fouilla mon sexe déjà trempée. Je sentis rapidement un, deux puis trois doigts s’enfoncer dans ma chatte. Quel délice ! Ses doigts étaient si rapides, si agiles et rythmés que j’ai eu peur de jouir tout de suite. Sa bouche abandonna mes seins pour descendre sur mon ventre et s'amuser avec et autour de mon nombril. Mes mains étaient toujours dans son dos, caressant sa peau douce et chaude. Je n’osais rien faire d’autre.

Elle descendit complètement ma jupe et ma culotte. J'étais nue, offerte, honteusement consentante à tout. Je fermais les yeux pour me laisser totalement porter, transporter.

Les mains immobiles accrochées à son canapé. Mon corps en alerte s'attendait au pire et au meilleurs quand sa bouche rejoint sa main toujours dans ma chatte. Sa langue vive, curieuse, fouineuse, têtue, rapide m'a rapidement ensorcelée. Mon corps n’était que soubresauts de plaisir, ma bouche que soupirs. J'ai joui si fortement que son canapé doit me haïr. J’ai joui comme jamais je n'avais joui.

Elle a relevé la tête et m'a souri, ses yeux brillaient du feu du désir. Karine s'est levée, m'a attrapée par la main pour me conduire à sa chambre, je l'ai suivie comme une petite fille tenue par sa mère à la sortie de l'école. Étendues sur le lit, nous nous sommes à nouveau dévorées de baisers, nos caresses devenaient folles, j'ai perdu toute retenue en découvrant ses magnifiques seins. Guidée par sa main, à mon tour j'ai laissé mes lèvres glisser sur son ventre, sa peau de pêche était un délice. Pour la première fois de ma vie, ma main a touché un sexe de femme, je me sentais nulle en la caressant.

Je n'arrivais pas à aller plus loin, j'en avais envie mais je n'y arrivais pas, j'aurai voulu la manger et la faire jouir mais quelque chose m'en empêchait. Karine s'en est rendue compte, elle m'a dit que ce n'était pas grave, qu'elle ne m'en voulait pas. Je suis remontée jusqu'à sa bouche pour l'embrasser tendrement. Nos langues virevoltaient lorsqu'elle s'est reculée pour me proposer de m'attacher pour m'aider à franchir le pas. Incapable de parler, j'ai fait un "oui" timide de la tête sans même savoir ce qu'il allait m'arriver.

Dans sa table de nuit elle a attrapé des menottes, rapidement posées sur mes poignets n'offrant aucune résistance, je me livrais corps et âme à une femme. Avec une grande douceur, Karine est repartie comme une conquérante bien décidée à vaincre. Sa bouche et ses mains ont à nouveau mis le feu aux poudres de mes sens quand soudain elle m'a enjambée pour un soixante-neuf. Avec un sadisme sans pareil, elle s'est acharnée sur mon clitoris sans m'imposer de lécher son sexe glabre à quelques centimètres de mon visage. Son sadisme s'exprimait en me laissant toujours au bord du vertige. Elle s'est relevée pour attraper un petit vibromasseur dans sa table de nuit qu'elle a inséré dans ma chatte en m'ordonnant de serrer les jambes pour le garder.

Toujours à cheval sur moi, juste au dessus de mon visage elle a commencé à pincer mes tétons doucement, à les faire rouler sous ses doigts. Je devenais son jouet, son esclave, l'esclave de mes sensations aussi.

Etre attachée, pincée, bloquée m'a libérée, j'ai pu dans la folie des sens embrasser son minou. Et là lentement, sans relâcher la pression sur mes tétons devenant brûlants sous ses doigts, elle s'est assise lentement sur ma bouche. Je me suis noyée de bonheur dans sa chatte, je l'ai dévorée à mon tour, j'étais conquise, je n'avais qu'à accepter, subir, jouir des émotions. Les bras bloqués au dessus de ma tête par ses jambes et avec les poignets menottés, je ne pouvais plus résister à sa croupe devenant fougueuse, je ne pouvais pas la caresser, lui dire que j'étais maintenant heureuse de l'avoir fait. Seule ma langue pouvait le faire mais elle était trop occupée....

Je savais que je ne devais pas y aller.

Cette soirée a chamboulé ma sexualité.

Cette soirée a fait de moi son esclave.

Cette soirée a fait de moi une épouse souvent en cavale.

Ecrivaillon

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